01.12.2017

Bâchage du toit de l’école Aline Hanson

À la demande de la Collectivité, la Sécurité civile intervient cette semaine à l’école primaire Aline Hanson à Sandy Ground.

Les militaires posent une bâche afin de prévenir les infiltrations d’eau. «Nous avions de l’eau qui coulait et qui stagnait dans les faux plafonds ; nous avions ainsi beaucoup de moustiques et les enseignants se plaignaient», explique le directeur, Germain Alamkan.

«La difficulté de cette opération est la présence de panneaux solaires sur le toit et ce n’est pas notre métier de les enlever. Alors nous posons la bâche par dessus», ont expliqué les militaires à la préfète Anne Laubiès venue apprécier leur travail dans l’après-midi de jeudi.

La sécurité civile était déjà intervenue dans une partie de cette école après le passage d’Irma. Mais face aux plaintes des enseignants, d’autres parties du toit ont nécessité une nouvelle opération.

Le bâchage terminé, la collectivité devra entamer des travaux de rénovation à l’intérieur des classes ; leur état ne permet pas d’accueillir les enfants. «Nous aimerions pouvoir récupérer ces quelques salles rapidement afin de proposer de nouveaux horaires», confie le directeur.

Bâchage du toit de l’école Aline Hanson

 

À la demande de la Collectivité, la Sécurité civile intervient cette semaine à l’école primaire Aline Hanson à Sandy Ground. Les militaires posent une bâche afin de prévenir les infiltrations d’eau. «Nous avions de l’eau qui coulait et qui stagnait dans les faux plafonds ; nous avions ainsi beaucoup de moustiques et les enseignants se plaignaient», explique le directeur, Germain Alamkan.

«La difficulté de cette opération est la présence de panneaux solaires sur le toit et ce n’est pas notre métier de les enlever. Alors nous posons la bâche par dessus», ont expliqué les militaires à la préfète Anne Laubiès venue apprécier leur travail dans l’après-midi de jeudi.

La sécurité civile était déjà intervenue dans une partie de cette école après le passage d’Irma. Mais face aux plaintes des enseignants, d’autres parties du toit ont nécessité une nouvelle opération.

Le bâchage terminé, la collectivité devra entamer des travaux de rénovation à l’intérieur des classes ; leur état ne permet pas d’accueillir les enfants. «Nous aimerions pouvoir récupérer ces quelques salles rapidement afin de proposer de nouveaux horaires», confie le directeur.

Estelle Gasnet