12.02.2019

Grève des agents de la COM et de la CTOS : un des accès à la COM dégagé

Les agents de la CTOS et de la COM en grève depuis mercredi 30 janvier ont tenté ce mardi 12 février à l'aube de bloquer à nouveau les entrées de l'hôtel de la Collectivité. Les gendarmes et la police territoriale sont intervenus aux environs de 7 heures pour qu'au moins une des entrées, la principale, soit accessible aux élus, agents non grévistes et administrés. Les manifestants bloquent toujours l'autre entrée, donnant sur la rue Victor Maurasse. Ils refusent pour l'instant de parler à la presse. 

Aux alentours de 8h45 un incendie s'est déclaré dans une maison abandonnée rue Maurasse, que les pompiers ont rapidement réussi à éteindre. Une enquête est en cours pour en déterminer la cause. 

Fanny Fontan
4 commentaires

Commentaires

Quand il ne reste que la force pour faire valoir ses idées, c'est que les idées ne sont pas bonnes…
UTG CGTG, DEHORS de notre ile!

quand aux employés, vous avez su en profiter, c'est fini, trouver vous un vrai boulot et payez vos taxes pour que la collectivité de licencie pas plus...

Valoir quelles idées?Ils n'en ont pas sinon de suivre comme des moutons ce qui se fait en Guadeloupe même le chant de guerre en créole.Ils perdent leur culture et leur dignité de Saint Martinois triste pour un syndiqué.Au fait que vient faire un syndicat d'une autre collectivité ici?Est ce légitime?

Manifester contre la COM avec des Tee-shirt du LKP un grand moment...

Le caractère illicite du blocage peut être démontré si les grévistes entravent la liberté du travail des non-grévistes ou s'il y a séquestration des moyens de production. Dans ce sens, le déblocage par les forces de l'ordre n'est pas une entrave au droit de grève. De même, le blocage symbolique de l'entrée par des agents extérieurs n'est en théorie pas licite